Catégorie : Médias sociaux

  • Médias Sociaux : Bénéfices et Applications pour les Entreprises

    Médias Sociaux : Bénéfices et Applications pour les Entreprises

    Les médias sociaux ont véritablement transformé la manière dont les entreprises interagissent avec leur public et construisent leur image de marque. Avec plus de 5 milliards d’utilisateurs actifs à l’échelle mondiale, ce qui équivaut à environ 60 % de la population, ces plateformes offrent un potentiel considérable pour atteindre de nouveaux clients, fidéliser les clients existants, promouvoir des produits et services, et collecter des données essentielles.

    Dans cet article, nous allons plonger dans l’univers des principaux médias sociaux, examiner leurs applications pratiques, et détailler les nombreux avantages qu’ils apportent aux entreprises. Notre objectif est de vous aider à choisir la plateforme qui correspond le mieux à vos besoins et à vos objectifs 😉

    Les réseaux sociaux

    Les réseaux sociaux, ce sont des plateformes qui connectent les utilisateurs, individus ou organisations, en fonction de leurs centres d’intérêt, de leurs relations ou de leurs activités. Ils offrent la possibilité de créer des profils personnels, de partager des messages, d’interagir par des commentaires, des mentions « j’aime », de suivre d’autres utilisateurs et d’ajouter des « amis » ou « relations » à sa liste de contacts.

    On distingue deux types de réseaux sociaux.

    Les réseaux généralistes

    Ils offrent la possibilité aux utilisateurs de se connecter avec d’autres individus, de partager du contenu et de former des communautés. Ces réseaux sociaux sont gratuits et accessibles à tous, permettant aux internautes de se connecter les uns avec les autres et d’interagir via des publications, des discussions privées et des groupes dédiés. Parmi les plus célèbres, on retrouve notamment Facebook, Instagram, X (anciennement Twitter) ou encore Snapchat.

    C’est Facebook qui est le plus utilisé à ce jour. Selon le Digital Report 2023, publié par We Are Social et Meltwater, le réseau social créé en 2004 compte 2,9 milliards d’utilisateurs actifs dans le monde, dont 48,012 millions de visiteurs uniques en France.

    Les réseaux professionnels

    Ces plateformes sont prévues pour un usage strictement professionnel, favorisant la mise en avant des compétences et des interactions liées au monde du travail. Contrairement aux réseaux sociaux généralistes, les réseaux sociaux professionnels sont conçus pour mettre en relation les professionnels entre eux et faciliter le développement des carrières. Les plus utilisés sont LinkedIn, Viadeo et XING.

    LinkedIn regroupait 875 millions d’utilisateurs dans le monde en novembre 2022, dont 25 millions en France (LinkedIn Pressroom), faisant de lui le réseau social professionnel le plus utilisé.

    L’intérêt des réseaux sociaux pour les entreprises :

    • Augmenter la visibilité de l’entreprise : les réseaux sociaux permettent aux entreprises de toucher un public plus large et d’augmenter leur visibilité en ligne
    • Interagir avec les clients : c’est un moyen facile et rapide pour les clients de communiquer avec les entreprises, que ce soit pour poser des questions, donner des commentaires, ou partager des expériences avec la marque et ses services.
    • Générer du trafic vers le site web : les réseaux sociaux sont un excellent moyen pour les entreprises de promouvoir leur site web, de générer du trafic vers celui-ci et d’améliorer son référencement naturel.

    Surveiller l’e-réputation : ils offrent l’avantage de pouvoir surveiller ce qui se dit en ligne sur la marque, permettant ainsi aux entreprises de gérer leur e-réputation et de répondre rapidement aux retours clients.

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    Les plateformes de partage de contenus

    Les plateformes de partage de contenus permettent aux utilisateurs de stocker, de partager et de consulter divers types de contenus, tels que des photos, des vidéos, des articles, des infographies, et bien plus encore. Leur objectif principal est de simplifier la diffusion et la découverte de contenus intéressants, pertinents ou divertissants. Elles encouragent les interactions et les échanges entre les utilisateurs autour des contenus partagés.

    Voici quelques exemples de plateformes :

    Vidéos : YouTube, Dailymotion, Vimeo, TikTok, etc.

    Musiques/Podcasts : Spotify, Deezer, Apple Music, YouTube Music, etc.

    Photos et illustrations : Instagram, Pinterest, Flickr, etc.

    L’intérêt des services de partage de contenu pour les entreprises : 

    • Augmenter la portée du contenu : en partageant du contenu sur ces plateformes, les entreprises peuvent toucher un public plus large que celui qu’elles pourraient atteindre sur leur propre site web ou leurs réseaux sociaux.
    • Améliorer le référencement naturel : ça peut également contribuer à améliorer le référencement naturel du site web de l’entreprise dans les résultats de recherche en générant du trafic supplémentaire.
    • Toucher de nouveaux publics : les plateformes de partage de contenu peuvent être utilisées pour toucher des publics spécifiques ou des niches qui pourraient ne pas être accessibles par d’autres moyens.

    Favoriser l’engagement : le partage de contenu peut encourager les utilisateurs à commenter, aimer et partager le contenu, ce qui peut aider à renforcer la communauté en ligne de l’entreprise et sa notoriété.

    Les réseaux sociaux de bookmarking et de curation

    Ce sont des sites web ou des applications qui permettent aux utilisateurs de sauvegarder, d’organiser et de découvrir du contenu provenant de diverses sources sur le web.

    Les plateformes de bookmarking :

    Elles permettent aux utilisateurs de sauvegarder, de classer, de chercher et de partager leurs liens favoris. Ces liens sont généralement organisés par des mots-clés ou des étiquettes, qui facilitent la recherche et la découverte de contenus pertinents.

    Les utilisateurs peuvent également consulter les liens partagés par d’autres membres du réseau, et les évaluer, les commenter ou les ajouter à leurs propres favoris. Les réseaux de social bookmarking sont souvent utilisés pour la veille informationnelle, le partage de connaissances ou le divertissement. Parmi eux, on retrouve notamment Diigo, Reddit ou Digg.

    Les plateformes de curation :

    Elles offrent la possibilité aux utilisateurs de collecter, d’éditer et de partager des contenus web sur un sujet ou un thème donné. Ces contenus peuvent être des articles, des images, des vidéos, des infographies, etc. Les utilisateurs sélectionnent les contenus les plus intéressants ou les plus pertinents parmi les sources disponibles sur le web, et les enrichissent avec leurs propres commentaires, analyses ou opinions. Les contenus sont ensuite exposés sur une plateforme dédiée, qui peut être consultée par d’autres utilisateurs intéressés par le sujet.

    Les réseaux de curation sont souvent utilisés pour la création de valeur ajoutée, la diffusion d’expertise ou la promotion d’une marque. Les plus utilisées sont Scoop.it et Pinterest.

    L’intérêt des plateformes de bookmarking et de curation pour les entreprises :

    • Veille stratégique : les entreprises peuvent surveiller l’actualité et les tendances dans leur secteur d’activité, rester informées des développements de la concurrence et des nouvelles technologies, et suivre les réactions des consommateurs à leur marque ou à leur offre.
    • Gain de temps : ils permettent de gagner du temps en centralisant les informations pertinentes et en les organisant de manière à faciliter leur consultation. Cela peut être particulièrement utile pour les entreprises qui ont besoin de suivre de multiples sources d’informations.
    • Facilitation de la collaboration : ils peuvent faciliter la collaboration entre les membres de l’équipe ainsi que la mise en commun de connaissances et d’expertises en rassemblant les informations pertinentes au sein d’un espace partagé.

    Les blogs et les médias de publication

    Le terme « Blog » est le résultat de la contraction de « Web log », signifiant en français « journal sur Internet ». Ils permettent aux utilisateurs de créer et de diffuser du contenu textuel, comme des articles, des essais, des critiques ou des récits. La création de blogs repose sur l’utilisation d’outils de gestion de contenu (CMS), qui offrent des fonctionnalités d’édition, de mise en forme, de commentaires ou de partage. Les blogs et les médias de publication les plus populaires dans le monde en 2023 sont Medium, WordPress, Blogger et Tumblr. Parmi eux, WordPress se distingue nettement au sein de la blogosphère en étant utilisé par plus de 40 % des blogueurs.

     

    L’intérêt des blogs pour les entreprises :

    • Améliorer le référencement naturel : ils aident au bon positionnement des sites internet en fournissant du contenu régulier et pertinent pour l’utilisateur et les moteurs de recherche. Ils peuvent aider à cibler des mots-clés spécifiques et à augmenter la visibilité de l’entreprise dans les résultats de recherche.
    • Établir son expertise : en partageant des informations utiles et des conseils dans leur domaine d’activité, les entreprises peuvent démontrer leur expertise et leur crédibilité à leurs clients et prospects. Cela renforce le sentiment de confiance et permet d’établir une réputation d’expert dans son secteur.
    • Augmenter le trafic du site web : les articles de blog peuvent également être partagés sur les réseaux sociaux et les autres canaux de marketing numérique de l’entreprise pour atteindre un public plus large et générer du trafic vers le site web de l’entreprise.
    • Offrir de la valeur ajoutée : en délivrant des informations utiles, des conseils pratiques, des astuces et des idées, vous offrez de la valeur à votre cible. Cela peut aider à établir une relation à long terme avec les clients et les fidéliser.
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    Les microblogs

    Le microblogging est un mélange entre le blogging traditionnel et la communication plus courte et directe initiée par les réseaux sociaux. Les plateformes de microblogging permettent donc la création et la diffusion de contenus courts, tels que textes, images, vidéos ou liens, via une plateforme spécifique ou un réseau social. L’utilisateur peut ainsi partager rapidement et facilement des informations, des opinions, des actualités ou des divertissements avec une audience ciblée. Le microblogging est souvent utilisé pour la veille, le marketing direct, le journalisme ou encore pour dialoguer avec les internautes.

    C’est Twitter, devenu X, qui a démocratisé le microblogging, mais parmi d’autres plateformes s’y prêtent, telles que Facebook, LinkedIn, ou encore Tumblr.

    L’intérêt des plateformes de microblogage pour les entreprises :

    C’est similaire à ce qui a été évoqué pour les réseaux sociaux, à savoir :

    • Augmenter la visibilité de l’entreprise : les réseaux sociaux permettent aux entreprises de toucher un public plus large et d’augmenter leur visibilité en ligne
    • Interagir avec les clients : c’est un moyen facile et rapide pour les clients de communiquer avec les entreprises, que ce soit pour poser des questions, donner des commentaires, ou partager des expériences avec la marque et ses services.
    • Générer du trafic vers le site web : les réseaux sociaux sont un excellent moyen pour les entreprises de promouvoir leur site web, de générer du trafic vers celui-ci et d’améliorer son référencement naturel.

    Les médias d’avis et de notation

    Ce sont des plateformes qui permettent aux utilisateurs d’évaluer et de commenter des produits, des services ou des expériences. Ils offrent souvent des fonctionnalités de comparaison, de recommandation, de géolocalisation ou de réservation.

    Les avis et les notations sont devenus incontournables pour les consommateurs et les entreprises, car ils leur permettent de prendre des décisions plus informées et d’offrir des produits et services de meilleure qualité

    Parmi les plateformes les plus connues, nous pouvons citer Tripadvisor, Google Business Profile, Trustpilot ou encore Yelp.

    L’intérêt des médias d’avis et de notation pour les entreprises : 

    • Amélioration de la réputation en ligne : les avis et les notes positifs peuvent aider à renforcer la réputation en ligne d’une entreprise, car ils constituent une preuve sociale de la qualité des produits ou services proposés.
    • Prise en compte de la voix du client : ils donnent une indication claire de ce que les clients pensent de l’entreprise et permettent à l’entreprise de prendre en compte la voix de ses clients. Cela peut aider à identifier les problèmes et les améliorations potentielles.
    • Augmentation des ventes : les bons avis encouragent les clients potentiels à acheter des produits ou des services, ce qui peut contribuer à accroître le chiffre d’affaires de l’entreprise.

    Les forums en ligne

    Les forums sont des espaces de discussion publique autour de thèmes variés souvent organisés en catégories et en fils de discussion. La communication y est asynchrone, ce qui les distingue des interfaces de Tchat et des outils de messagerie instantanée.

    Les forums de discussion les plus populaires dans le monde en 2023 sont Quora, Reddit, Discord et Stack Overflow.

    L’intérêt des forums pour les entreprises : 

    • Offrir un service client amélioré : ils permettent aux clients de poser des questions et de recevoir des réponses d’autres clients ou représentants de l’entreprise. Cela peut aider à résoudre un problème plus rapidement et efficacement.
    • Réduire les coûts de support client : en permettant aux clients de s’entraider sur les forums en ligne, les entreprises peuvent réduire le volume de demandes de support client qu’elles reçoivent par téléphone ou par email.
    • Collecter des commentaires et des idées : ils permettent aux clients de donner leur avis sur les produits et services de l’entreprise. Cette rétroaction peut être utilisée pour améliorer les produits et services et pour orienter les futures stratégies de l’entreprise.
    • Renforcer l’engagement de la communauté : un forum en ligne permet aux clients de se connecter avec d’autres personnes qui partagent les mêmes intérêts et préoccupations. Cela renforce le sentiment d’appartenance à une communauté et augmente l’engagement des clients avec la marque. C’est aussi un excellent moyen de créer une communauté d’ambassadeurs de la marque.

    Le prisme de la conversation de Brian Solis

    Depuis 2008, Brian Solis propose une représentation graphique intitulée « The conversation prism » (Prisme de la conversation), actualisée chaque année, permettant d’obtenir une vision globale et synthétique de l’écosystème des médias sociaux. Elle se compose de quatre cercles dont le centre commun « YOU » correspond à la marque ainsi qu’au rôle qu’elle joue ou souhaite jouer sur les médias sociaux.

    • Le premier cercle permet de définir les principaux engagements de la marque vis-à-vis des médias sociaux. Parmi eux y figure par exemple la notion de « valeur » qui incite l’annonceur à se poser la question suivante : quelle valeur ma marque peut-elle apporter sur les médias sociaux ?
    • Le second cercle interroge ensuite sur l’impact des différents services et fonctions de l’entreprise et leurs niveaux d’implication respectifs : ressources humaines, ventes, marketing, développement produit, etc.
    • Le troisième cercle confirme l’intérêt de considérer le cercle vertueux : Ecouter, Apprendre, Adapter.
    • Enfin en périphérie, le quatrième cercle classe les médias sociaux en fonction de leur typologie.

    Prisme Brian Solis des Médias Sociaux

    Fig 3 : Le Prisme de la Conversation 5.0 selon Brian Solis

    Le Prisme de la Conversation 5.0 par Brian Solis et JESS3

    Média sociaux : Le classement selon les usages primaires

    Frédéric Cavazza offre également chaque année depuis 2008, une représentation graphique simplifiée des principaux médias sociaux qui les répartit cette année dans six grandes familles correspondant aux grands usages: réseautage, publication, partage, collaboration, discussion et messagerie.

    Panorama des Médias Sociaux 2023
    Fig 4 : Le panorama des médias sociaux 2022 de Frédéric Cavazza.

    Panorama de réseaux sociaux de Frédéric Cavazza

    Les médias sociaux sont devenus un outil incontournable pour les entreprises qui souhaitent renforcer leur présence en ligne et interagir avec leur public. Les différentes plateformes de médias sociaux offrent une variété de fonctionnalités et d’usages permettant à chacune d’y trouver son compte, quel que soit son secteur d’activité et ses objectifs.

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  • Comment organiser votre présence sur le web grâce au modèle POEM ?

    Comment organiser votre présence sur le web grâce au modèle POEM ?

    Le modèle POEM (Paid, Owned and Earned Media) permet de répartir ses contenus selon différents types d’expositions :

    • visibilité achetée,
    • visibilité propre
    • visibilité gagnée.

    Cet outil aide à optimiser la visibilité online d’une entreprise ou marque sur les médias de façon dynamique et équilibrée, en mixant les démarches complémentaires d’outbound et d’inbound marketing.

    Modele POEM

    Le Modèle POEM : une façon efficace d’organiser la présence d’une entreprise sur les médias

    Définition du Paid média :

    • Il désigne les espaces publicitaires achetés par la marque.
    • Objectif : augmenter la visibilité de la marque
    • Indice d’influence : modéré
    • Les outils du Paid média : Googles ads au CPC (coût par clic), Display, Publicité sur LinkedIn (LinkedIn ads), Facebook ads….

    L’expérience de marque est forte car plus de la moitié de l’expérience de marque se fait via ce canal Paid (plus de 50% des personnes connaissent une marque grâce à la publicité). L’indice de confiance dans la publicité, est plus bas que celui du Owned média et Earned média.

    Définition du Owned média :

    • Il désigne l’exposition contrôlée par la marque
    • Objectif : toucher une population plus qualifiée et la fédérer autour de la marque
    • Indice d’influence : moyen
    • Les outils du Owned média : site web, blog, livres blancs, infographies, comptes médias sociaux….

    L’expérience de marque et l’indice d’influence sont modérés.

    Définition du Earned media :

    • Le Earned media représente la communication générée par les consommateurs, les collaborateurs et autres influenceurs
    • Objectif : créer des ambassadeurs
    • Indice d’influence : très fort
    • Ce qui correspond au Earned media : bouche à oreille, avis, citations, mentions sur les réseaux sociaux, partages, conversations, commentaires

    L’expérience de marque est modérée. En revanche, son niveau d’influence est maximal par rapport au Paid média et Owned média.

    Le Earned media est aujourd’hui le type d’exposition qui possède la plus forte influence le plus, quand le Paid media représente encore plus de 50% de l’expérience de marque. L’influence du Earned Media étant fort, il nous semble judicieux d’impliquer l’ensemble des collaborateurs dans le plan social média. Tous sont des Community Managers potentiels et contribueront à amplifier la voix de l’entreprise sur les réseaux. Nous sommes en mesure d’amener vos collaborateurs à devenir vos alliés sur les réseaux sociaux en organisant des workshop expérientiels ou des formations sur-mesure pour tirer bénéfice des réseaux sociaux.

    Le modèle POEM, selon Forrester

    Ce modèle mis au point par Forrester est à nouveau au goût du jour avec la pré-dominance des médias sociaux, qui sont par ailleurs intégrés aux trois types d’exposition média.

    poem_forrester

    Comment optimiser sa présence digitale via le modèle POEM ?

    A partir de votre stratégie, nous vous proposons de concevoir le dispositif adapté qui vous permettra de répartir habilement votre présence sur les trois types d’exposition média et de servir votre stratégie digitale dans la durée.

    Pourquoi le modèle POEM optimise la visibilité d’une marque ?

    Cet outil POEM permet :

    • de bien penser sa présence médiatique, online mais aussi offline en incluant dans le Owned média les locaux, l’enseigne, le Digital OOH (out of home)
    • d’articuler sa présence médiatique de façon équilibrée et dynamique. L’exposition média est équilibrée entre chaque type d’exposition, toutes inter-connectées. Chaque exposition servira et nourrira les deux autres. Il s’agit de bénéficier de l’effet de volume avec un dispositif Paid Média bien construit qui va nourrir le Owned média en renvoyant l’internaute sur le blog ou le site web par exemple. Le Earned média est le graal d’un point de vue marketing, le pouvoir du bouche à oreille étant très fort. Seulement sans être accompagné d’un dispositif Paid média adapté, la démarche Earned média, qui nécessite par ailleurs beaucoup d’énergie, risque de ne pas atteindre les objectifs attendus. Sa portée seule sera réduite uniquement au cercle proximité de l’entreprise.
      Plus de 50% de l’expérience de marque se fait grâce à la publicité, même si l’indice de confiance dans la publicité est relativement bas. Autrement dit, 50% des personnes connaissent une marque grâce à la publicité. C’est pourquoi il est nécessaire de coupler la démarche Earned media avec un dispositif Paid média.

    Quelle est la place du social média dans le modèle POEM ?

    Il est intéressant de voir que les réseaux sociaux sont dans les 3 types d’exposition média du modèle POEM :

    • Paid média : le social média a complètement relancé le display.
    • Owned média : le blog est un outil très intéressant. Il permet à l’entreprise de contrôler son contenu et évite de se soumettre aux règles dictées par les réseaux sociaux.
    • Earned média : les citations, avis, recommandations constituent le graal du marketing, avec le plus fort indice de confiance.

    Une nouvelle variable du modèle POEMS : Le Shared Média

    On mesure de plus en plus le taux de partage de ses publications. Le shared media est un nouvel indicateur à prendre en compte pour optimiser sa visibilité.

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  • Comment recruter avec les réseaux sociaux ?

    Comment recruter avec les réseaux sociaux ?

    BlueMarketing a été convié à animer le Café éco organisé le 14 février 2019 par Clisson Sèvre et Maine Agglo à Saint-Hilaire de Clisson. Le thème de ce rendez-vous portait sur le recrutement à l’heure des réseaux sociaux.

    Marianne Hoyet, Directrice associée chez BlueMarketing, a accueilli une quarantaine de chefs d’entreprises venus parler réseaux sociaux, recrutement, communication, marque employeur.
    La marque employeur désigne l’ensemble des problématiques d’image d’une marque à l’égard de la cible des employés ou salariés potentiels. L’objectif est de rendre la marque séduisante en tant qu’employeur potentiel, mais aussi parfois de défendre l’image de métiers mal perçus ou mal connus.

    Une marque employeur forte permet aux entreprises de :

    • recruter les meilleurs talents
    • diminuer les coûts de recrutement
    • fidéliser ses collaborateurs
    • attirer spontanément les candidatures

    Ce rendez-vous avait pour objectif de répondre aux questions que l’on se pose lorsque l’on souhaite recruter via les réseaux sociaux : Comment s’y prendre ? Par où commencer ? Quels réseaux sociaux utiliser pour mon entreprise ? Quoi communiquer ? Quand communiquer ?

    Marianne Hoyet a présenté une stratégie social media au service de la marque employeur et une démarche pour agir sur les réseaux sociaux de façon cohérente et structurée, déclinée en 13 étapes, et illustrée à chaque étape d’exemples inspirants « Made in BlueMarketing » :

    • Diagnostic (dont benchmark, diagnostic de maturité digitale, parcours collaborateur)
    • Définition de profils cibles (personas)
    • Positionnement de la marque employeur (valeurs, axes de différenciations, atouts)
    • Buts (développer la marque employeur dans une optique de recrutement et de fidélisation du personnel)
    • Définition des objectifs financiers et non financiers
    • Formulation de la stratégie social media pour attirer des profils intéressants
    • Plan de développement opérationnel (choix des plateformes, types de contenus, thématiques, calendrier de publication, media planning social media)
    • Sélection des indicateurs de performance (KPI) : trafic sur les pages RH du site, nombre de candidatures, nombre de candidatures spontanées, ancienneté moyenne, nombre de départs, taux de satisfaction des employés
    • Définition de l’organisation et sélection des outils
    • Mise en œuvre et contrôle
    • Mesure des résultats financiers et non financiers
    • Retours sur les résultats non financiers / ROI
    • Bilan global

    Visionner la présentation projetée lors de l’événement

  • Intervention à la soirée “Rencontre développement économique” de l’agglo Clisson Sèvre et Maine

    Intervention à la soirée “Rencontre développement économique” de l’agglo Clisson Sèvre et Maine

    150 chefs d’entreprise ont répondu présents à la rencontre économique organisée par Clisson Sèvre et Maine Agglo le 18 octobre 2018. Le thème de la soirée était celui du recrutement et de l’attractivité des entreprises. Bluemarketing y a animé un atelier sur les réseaux sociaux et leur utilité pour recruter des profils mieux ciblés et fidéliser les collaborateurs.

    Pour une entreprise, la question n’est plus de savoir s’il faut utiliser les réseaux sociaux ou non, mais bien de construire une présence efficace en fonction des objectifs recherchés.

    Pour les ressources humaines, intégrer les réseaux sociaux participe à construire une marque employeur forte permettant d’attirer spontanément les candidatures, de recruter les meilleurs talents, de diminuer les coûts de recrutement et de fidéliser ses collaborateurs.

    Marianne HOYET a présenté une méthodologie pour définir une stratégie sur les réseaux sociaux pérenne et efficace en réponse aux objectifs RH de l’entreprise.

    Après un diagnostic interne et externe de l’entreprise, l’accent a été mis sur la définition des cibles. A qui s’adresse l’entreprise ? Qui souhaite-t-elle attirer ? La démarche opérationnelle est bien sûr différente si l’entreprise veut attirer des jeunes diplômés informaticiens ou des ouvriers du bâtiment.

    Différentes étapes ont été abordées : définition des objectifs et du positionnement de l’entreprise, établissement d’un plan opérationnel structuré et cohérent, choix des plateformes (facebook, linkedin, twitter, instagram, etc.), rythme de publication, ligne et calendrier éditorial, répartition des rôles, sélection des indicateurs de performance dans un objectif d’estimation des retombées de la démarche social média…

    Retour sur les moments forts de la soirée

    Discutons élaboration de stratégie, plan opérationnel, mise en ouvre

    Vous souhaitez…

    • développer votre marque employeur
    • attirer des talents
    • fidéliser vos collaborateurs
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  • Social Selling : questions – réponses

    Social Selling : questions – réponses

    Voici les réponses aux questions que nous entendons le plus souvent dans les entreprises au sujet du social selling.

    Qu’est-ce que le Social Selling ?

    C’est l’art et la manière de développer ses ventes via les réseaux sociaux. Il s’agit d’une déclinaison des techniques de vente traditionnelles.

    L’objectif pour une entreprise est de rayonner à travers son contenu à forte valeur ajoutée. Il s’agit de fournir à sa cible des éléments pertinents en totale adéquation avec ses préoccupations. De cette façon, l’entreprise attire sa cible (clients / prospects) autour de centres d’intérêts communs qui correspondent à son spectre d’expertise. C’est l’occasion de réinventer une relation clients riche, durable et authentique entre la marque et son public.

    Développer son business sur les médias sociaux contribue aussi à réconcilier commerce et marketing pour une action cohérente plus efficiente.

    Le Social Selling est un des défis qui existe parmi beaucoup d’autres dans la transformation digitale de l’entreprise.

    Voici les réponses aux questions que nous entendons le plus souvent dans les entreprises au sujet du social selling.

    En quoi est-ce important pour une entreprise de l’intégrer dans sa stratégie commerciale ?

    Les comportements d’achat ont complètement changé depuis ces dernières années. 51% des clients en BtoB ne contactent pas un fournisseur sans avoir établi une liste de fournisseur potentiel sur le web. 72% des clients en BtoB affirment que les réseaux sociaux jouent un rôle dans leur recherche (source : BtoB Buyer Behavior Survey 2013). Le commercial n’est plus l’interlocuteur privilégié du client. Désormais, les acheteurs sont autonomes dans leur recherche d’informations sur internet. Ils se forgent leur opinion par rapport à ce qu’ils trouvent sur le web, aux résultats de tests, aux retours d’expériences… Ils sont influencés par les avis de leurs pairs, au dépend de la publicité et des discours commerciaux. 72% des clients en BtoB affirment que les réseaux sociaux jouent un rôle dans leur recherche (source : BtoB Buyer Behavior Survey 2013). Les acheteurs réalisent 60% à 70% de leur processus d’achat avant de parler à un commercial (sources : IDC, Sirus Decisions et Corporate Excecutive Board). La prise de contact n’intervient qu’en fin de parcours.

    Fort de ce constat, l’entreprise doit impérativement s’adapter à cette nouvelle donne et intégrer le social selling comme une évolution des méthodologies de vente pour se placer naturellement à plusieurs endroits du parcours d’achat du consommateur en lui apportant de la valeur à chaque étape de son expérience d’achat.

    L’objectif est de faire de ses équipes des commerciaux augmentés, plus intéressants que intéressés. Le social seller saura être proactif. Par une veille stratégique, Il détectera les moments déclencheurs d’achat, exploitera les signaux d’achat que sont les informations délivrées par les clients sur les réseaux sociaux, identifiera en amont un acheteur potentiel en fonction de son comportement, de ses connexions, de ses prises de parole. Il proposera ainsi une mise en relation à bon escient dans l’optique d’apporter une vraie valeur à son interlocuteur.

    Comment appliquer et intégrer le Social Selling dans le travail d’un commercial ?

    Quatre points me semblent essentiels pour avancer de façon pragmatique dans la conception d’une démarche social selling :

    1/ Impliquer le commercial dès le début dans cette démarche social selling

    Il est nécessaire de lui expliquer les enjeux des comportements d’achat actuels exposés ci-dessus afin qu’il devienne acteur et contribue à ré-inventer sa propre méthode de vente.

    Cette démarche permettra au commercial de passer de statut de “pur commercial” (un individu qui veut vendre et qui parlera de ses objectifs), au statut de “commercial intéressant”, c’est à dire une personne au comportement différent, davantage intéressé par les besoins de ses clients, qui saura se connecter avec eux, les écouter et leur expliquer comment il peut leur apporter de la valeur.

    2/ Aligner le commerce et le marketing

    Si il existe un service marketing, il est impératif d’aligner le commerce et le marketing autour du business généré, le seul indicateur qui rapproche les équipes marketing et commerciales.

    Il est important de jouer collectif, d’avoir un objectif commun pour l’entreprise. Je pense même qu’il est maintenant judicieux d’associer tous les collaborateurs à cet objectif car la vente “sociale” qui ré-enchante la relation client n’est plus simplement l’affaire du commercial, c’est l’affaire de toute l’entreprise qui se doit de multiplier les points de contact tout au long du cycle de vie du client. Nous invitons les entreprises à créer une charte d’engagement réciproque pour une meilleure synchronisation entre les équipes. Par exemple les marketeurs génèrent des leads, de leur côté les commerciaux s’engagent à traiter les leads dans un délai court.

    Si il n’existe pas de service marketing, il est important de rendre cette démarche transversale en y impliquant d’autres collaborateurs “volontaires” pour amorcer la démarche.

    3/ Comprendre son client grâce à l’empathie

    Il est important de se mettre à la place du client ou du prospect, d’être dans l’empathie pour bien percevoir sa ou ses problématiques. Il s’agit de comprendre la démarche de l’acheteur, la manière dont il consomme le contenu. Le but pour l’entreprise est de répondre aux questions que le consommateur se pose dans telle ou telle situation. De cette façon, l’entreprise fournit un contenu de qualité : la bonne réponse au bon moment tout au long du parcours d’achat, sans noyer le client sur dans la masse des contenus.

    4/ Adapter le management commercial et les KPI (indicateurs de performance)

    Ce qu’il faut avoir en tête, pour vendre davantage, c’est qu’un social seller ira moins en clientèle, mais il parlera avec plus de clients. Parfois, il leur parlera de façon plus collective, d’autre fois plus individuelle. Ce sont ces temps collectifs et individuels qu’il est nécessaire de “doser” pour faire durer la relation.

    Qui dit méthode de vente évoluée, rime forcément avec management évolué et adapté. Il serait contre-productif d’inciter les commerciaux à s’approprier les méthodes du social selling et de continuer à évaluer leur travail sur des KPI traditionnels comme le nombre d’appels sortants, le nombre de RDV ou encore le nombre de leads dans le pipe commercial car on ne sait jamais s’il s’agit de vrai leads…

    Au contraire, vous avez intérêt à re-définir des KPI en cohérence aux nouvelles méthodes qui seraient plus liées à des vues, like, abonnés, messages échangés, nombre de personnes dans les communautés…

    Est-ce la « mort » du commercial à l’ancienne ? Est ce que le Social Selling remplace les techniques de prospection classique ?

    Oui, le commercial traditionnel qui fait de la prospection en mode cold call n’a plus lieu d’être. Côté client, qui a envie de perdre du temps à recevoir un appel téléphonique d’un inconnu qui propose quelque chose en décalage avec ses préoccupations actuelles ? Personne à ma connaissance.

    Côté chef d’entreprise, combien de temps les commerciaux passent à appeler des personnes sans avoir personne au bout du fil ? Trop longtemps… Et généralement, ceci n’est pas quantifié dans une entreprise,
    Ce commercial traditionnel va petit à petit ne plus avoir sa place. Il sera de plus en plus en décalage avec les attentes et pratiques des clients.

    57% des décisions d’achats des clients sont prises bien avant le premier contact avec un commercial. Comment attire-t-on leur attention durant ce processus ?

    Il existe plusieurs façons d’attirer leur attention :

    Il s’agit avant tout de produire du contenu pour être visible et diffuser son savoir faire. Il faut être pertinent sur le contenu. La meilleure démarche consiste à   fabriquer du contenu propriétaire qui apporte de la valeur au prospect ou client. Ceci peut se décliner sous forme de vidéos, articles, infographies, outils, tests… Il s’agit bien, concernant les clients  :

     

    • d’être en phase avec leurs préoccupations
    • de leur apporter le contenu qui correspond à chaque étape de vente
    • de leur fournir du contenu utile, authentique, simple à “consommer” pour que le l’expertise et le savoir-faire de l’entreprise soit apprécié et reconnu
    • de répondre à leurs vrais besoins et aux questions qu’ils peuvent se poser
    • de leur donner la parole pour collecter facilement les remontées terrain utiles au développement voire au co-développement de produits et services
    • de les surprendre
    • de les intéresser
    • de les faire sourire, voire rire

     

    Comment mettre en place une stratégie efficace de Social Selling dans une entreprise qui n’en a encore jamais fait ?

    En postulat de départ, il est important quele ou la dirigeante soit convaincu(e) par la démarche Social Selling. Il doit être le premier sponsor de l’opération. Idéalement, il doit être partie prenante pour contribuer, à son niveau, à faire rayonner son entreprise selon ces nouvelles méthodes de vente.

    Bien sûr, l’étape essentielle consiste à former ses collaborateurs à ces pratiques numériques, pas seulement dans une problématique d’outils mais surtout dans une problématique de stratégie. A noter qu’il suffit d’une personne pour démarrer. Le point essentiel est de déterminer une stratégie de contenu, un contenu non “product centric” mais du contenu “client centric”, qui est plus engageant.

     

    Pour démarrer, il est nécessaire de se poser les bonnes questions. A qui je m’adresse : des clients ? des prospects ? Suis-je dans une démarche de fidélisation ? de conquête ? Est ce qu’ils sont présents sur LinkedIn, Facebook…? Sur quel support s’informent-ils ? Comment puis-je leur donner l’occasion de parler d’eux et de votre société ?

    Chez BlueMarketing, en tant que professionnels de la création de stratégies digitales, nous animons des formations-actions qui permettent aux participants de “vivre” le Social Selling, afin qu’ils se l’approprient grandeur nature. Il s’agit d’ateliers expérientiels courts et pratico-pratiques qui favorisent l’autonomie et l’action, tout en étant accompagné et conseillé de façon contextuelle. L’idée est de faire pratiquer, tester pour ensuite partager les bonnes pratiques et montrer au reste des salariés que ça fonctionne.

    Il est nécessaire de permettre aux commerciaux d’être en contact avec les clients de l’entreprise.

    Il faut réussir à montrer à un commercial que le Social Selling est un outil qui lui apporte de la valeur, et qu’il a tout intérêt à l’animer et le faire vivre dans le temps.

    Nous ne démarrons pas par une démarche de formation en masse avec l’ensemble des collaborateurs. Au contraire, nous choisissons des personnes qui ont une certaine appétence et une curiosité pour le sujet. Elle sont aussi sélectionnées pour leur capacité à diffuser le bon message en interne vis-à-vis de leurs collègues.
    Il n’y a pas de profil type, il suffit juste de sélectionner des volontaires qui veulent développer leur professional branding.

    Concrètement, nous les accompagnons dans la définition de la démarche stratégique puis dans sa déclinaison au niveau de la démarche opérationnelle.

    Ainsi, lors des ateliers, les participants créent leur Page entreprise sur LinkedIn, Viadéo, Google+, leur chaîne Youtube…. Les commerciaux établissent leur profil personnel de façon à mettre en valeur leurs expertises et les valeurs de l’entreprise. Une démarche de curation de contenu est définie en fonction des territoires de veille. Les commerciaux apprennent à commenter ou ajouter leur point de vue pour engager une conversation.

    Une stratégie de contenu est alors définie. Il s’agit de lister les questions que se posent vos clients et d’en rédiger les réponses. De là, nous établissons un planning éditorial, définissons les thèmes de posts, leurs fréquences, les plate-formes utilisées comme Pulse sur LinkedIn, Médium ou autres …

    Nous pouvons être amenés à créer des process ou s’appuyer sur des outils spécifiques pour concevoir des bibliothèques de contenu, référentiel unique mis à disposition des commerciaux pour qu’ils puissent puiser dedans, se les approprier pour ensuite diffuser plus rapidement.

    Suivant les cas, nous les dotons d’outils de monitoring pour centraliser des likes, des commentaires et y répondre par la suite.

    L’idéal est de laisser son autonomie à l’équipe commerciale, en favorisant l’action responsable avec bon sens.

    Par expérience, les premiers résultats sont invisibles dans les premiers temps. Après 6 mois, les entreprises constatent un premier frémissement et des signes dans la vie réelle.

    En parlant de Social Selling, comment toucher les personnes non connectées ?

    Certaines entreprises choisissent de prendre leurs clients par la main pour leur permettre de faire leurs premiers pas sur les réseaux sociaux.

    Personnellement, nous travaillons avec des entreprises qui créent des communautés privées avec leurs clients. L’objectif étant de leur apporter des services supplémentaires à travers de l’information de qualité. Pour se faire, ils adoptent une démarche didactique et font preuve de pédagogie pour que leurs clients rejoignent ces communautés et deviennent acteurs au sein de ces cercles.

    Est-ce un public « abandonné » par le Social Selling ? Y a-t-il des alternatives de Social Selling pour parvenir à les toucher ?

    Si les clients ou les prospects ne sont pas sur les réseaux sociaux, l’entreprise aurait intérêt à utiliser les canaux traditionnels pour relayer ce qui se dit et se passe sur les réseaux. L’idée est de donner envie aux personnes de s’y mettre pour vivre les choses en temps réel et d’y participer.

    BlueMarketing a créé un programme de formation orienté pratique et expérimentations pour vous permettre de monter en compétence sur ces pratiques de social selling.

  • BlueMarketing dans emarketing.fr

    BlueMarketing dans emarketing.fr

    Judicaël est sollicité par Floriane Salgues, journaliste Emarketing.fr et Marketing Magazine (@FloSalgues) sur l’une de ses expertises le ROI des réseaux sociaux.

    Voici un dossier thématique sur les médias sociaux qui apporte un éclairage sur les principales questions :

    – Comment convertir l’engagement en business ?
    – Comment générer de la notoriété utile ?
    – Comment mesurer le ROI des réseaux sociaux et quels KPI prendre en compte ?

    Lire l’article : Du like aux leads, comment doper le ROI du social media ?

    Version papier :

    Marketing magazine ROI des médias sociaux
    Marketing Magazine – version papier – février/mars 2016
  • La fin des 140 caractères sur Twitter ?

    La fin des 140 caractères sur Twitter ?

    La « Big affaire » du moment. Twitter envisagerait de faire sauter sa limite des 140 caractères, c’est-à-dire en quelque sorte supprimer sa marque de fabrique.

    J’ai écris le post ci-dessous à la demande de Floriane Salgues journaliste du site emarketing.fr qui m’a proposé de réagir à cette annonce et ainsi de contribuer à son article publié ce jour sur emarketing.fr.

    Pourquoi Twitter opterait pour cette stratégie ?

    2 pistes pour expliquer ce choix :

    • augmenter son nombre d’utilisateurs face au ralentissement régulier de la croissance du nombre d’utilisateurs actifs, condition pour contribuer à atteindre son seuil de rentabilité.
    • augmenter le temps moyen passé sur sa plate-forme, en rendant les membres plus bavards.

    Twitter pense que ces deux éléments permettront d’augmenter mécaniquement les ressources publicitaires.

    Cela devrait lui permettre de capter davantage d’annonceurs, jusque là réticents par les limites imposées. Egalement le contenu étant plus long, les messages plus riches, les annonceurs auront plus de possibilités en terme de ciblage. Ceci semble s’inscrire dans la lignée de l’annonce de Twitter, faite début décembre, de pouvoir afficher de la publicité aux internautes qui consultent la plate-forme sans être connectés.

    Quelles conséquences sur les marques ?

    Les risques :

    • La possible diminution de l’engagement comme cela a été le cas lorsque Twitter a décidé d’ajouter plus de contenu ou de plus grandes images.
    • Une visibilité moindre compte tenu de la diminution du nombre de tweets lus, ces derniers étant plus longs à lire et le nombre de tweets vus à l’écran diminuant.
    • La perte d’audience des twittos puristes déçus de cette décision.

    Opportunités :

    • Une nouvelle audience d’individus qui se sentaient jusque là bridés face à cette limite des 140 caractères
    • Disposer d’un cadre plus souple pour véhiculer leurs messages, publicitaires ou non, de façon plus étayé
    • Du contenu plus riche indexable par les moteurs de recherche

    Alors et vous ? Pour ou contre la fin des 140 caractères ? Exprimez-vous en votant ci-dessous.

  • Le retour sur investissement des médias sociaux

    Le retour sur investissement des médias sociaux

    Nouvel article BlueMarketing dans les Echos autour de la question du retour sur investissement d’une présence sur les médias sociaux. (suite…)

  • Chiffres Social Media 2014

    Chiffres Social Media 2014

    Merci à Harsh Ajmera pour cette infographie interactive « Social Media 2014 » qui récapitule les principales données clés des médias sociaux en 2014.

    Voici quelques chiffres particulièrement intéressants :

    • 75% de l’engagement sur Facebook a lieu dans les 5 premières heures
    • 53% des échanges entre un utilisateur Google+ et une marque sont de nature positive
    • 44% des utilisateurs de Twitter n’ont jamais envoyé un tweet
    • 80% des utilisateurs de Pinterest sont des femmes
    • 41% des visites sur Linkedin se font via mobile
    • 23% des adolescents considèrent Intragram comme leur réseau social favori
    • La fin de semaine est la période la plus propice aux partages de Vines
    • 400 millions de Snaps sont envoyés chaque jour depuis SnapChat
    • 40% du trafic Youtube provient d’un terminal mobile
    • Les professionnels du marketing utilisant les blogs génèrent 67% de plus de prospects chauds
  • Les enjeux du calcul du ROI des médias sociaux

    Les enjeux du calcul du ROI des médias sociaux

    Pour les annonceurs, les directions marketing et les agences de communication, pouvoir évaluer le retour sur investissement revêt un intérêt primordial.

    Les principaux enjeux sont les suivants :

    • Apporter des éléments tangibles permettant de justifier un déploiement ou non sur les médias sociaux et pour des directions marketing de convaincre les directions générales encore réticentes par apriori ou par méconnaissance des médias sociaux. Le calcul du ROI est naturel pour arbitrer des choix budgétaires avec des dirigeants logiquement plus à même d’investir dans les projets à fort retour sur investissement.
    • Déterminer et justifier le niveau d’investissement, les ressources et le temps à y consacrer pour permettre d’allouer les bonnes ressources humaines (ex : choix d’intégrer ou non la fonction de community manager) et budgétaires au bon moment.
    • Privilégier le dispositif le plus rentable. Selon une étude Ascend2 en partenariat avec Research Underwriters, le second obstacle à surmonter pour mettre en place les meilleures tactiques sur les médias sociaux, est l’incapacité à mesurer le retour sur investissement, derrière le manque de personnel. Cet obstacle devient même numéro 1, si l’on sélectionne les entreprises de 100 et 1000 employés.
    • Valoriser correctement les efforts des équipes marketing et communication.
    • Eviter le risque de détériorer l’efficacité dans le temps et le dépassement par les concurrents. Selon un article paru dans la MIT Sloan management review, la plupart des professionnels du marketing sont des optimistes naïfs « naïve optimistic ». Ceux-ci ont le sentiment que leurs efforts sont payants même s’ils ne mesurent pas ou très peu les performances de leurs dispositifs sur les médias sociaux. Le risque à terme étant de diminuer l’efficacité de ces derniers et de se faire dépasser par des concurrents plus attentifs à cette notion de mesure.