Auteur/autrice : Marianne Hoyet

  • La stratégie Océan Bleu en 10 étapes

    La stratégie Océan Bleu en 10 étapes

    Voici une infographie de la Stratégie Océan Bleu en 10 étapes. Nous l’avons créée pour mettre en évidence la boite à outils Océan Bleu. Fort de plusieurs expériences réussies en PME, nous constatons au fil du temps que ce modèle stratégique est accessible, adapté aux ETI comme PME qui veulent sortir du cadre, innover « utile » et créer des business sans concurrence.

    La Stratégie Océan bleu en 10 étapes

    Ce modèle permet aux entreprises de surprendre leur marché et de donner du sens à leur transformation digitale. La résultante d’une démarche Océan Bleu :

    • une formulation de la stratégie d’entreprise claire, comprise de tous : les collaborateurs, partenaires, prescripteurs…
    • de la valeur créé pour les clients et simultanément une réduction des coûts pour l’entreprise
    • des leviers d’actions identifiés

    Découvrez un autre article sur le sujet : Pourquoi la stratégie Océan Bleu est-elle adaptée aux PME ?

    Pour en savoir plus : inscrivez au prochain petit-déjeuner de présentation de ce modèle

    Sollicitez-nous pour vivre cette expérience Océan Bleu avec des outils collaboratifs dernière génération et une approche résolument tournée vers le digital.

  • La Stratégie Océan Bleu : Une Solution pour les PME-PMI ?

    La Stratégie Océan Bleu : Une Solution pour les PME-PMI ?

    Au regard des chiffres ci-après, les petites et les moyennes entreprises sont le coeur du tissu économique français. En effet, selon les données du CEDEF, la France compte près de 4 millions de PME, soit 99,9 % des entreprises, 48,3 % de l’emploi salarié (équivalent temps plein). Elles réalisent 42,8 % de la valeur ajoutée.
    En explorant la question de l’innovation au sein de ces PME, la réalité du terrain montre que trop nombreux sont les projets d’innovation en PME abandonnés pour les raisons suivantes :

    • manque de financement,
    • faute de partenaires,
    • manque d’adéquation avec les nouvelles attentes du marché,
    • manque de temps.

    Ces deux constats nous ont motivés à répondre à la question : la Stratégie Océan Bleu est-elle adaptée aux PME-PMI ?

    En quoi consiste ce modèle stratégique ?

    Il s’agit d’un modèle stratégique mis au point par W. Chan Kim et Renée Mauborgne en 2005 qui permet de créer de nouveaux espaces stratégiques vierges de tout concurrent. Avec la stratégie Océan Bleu, les benchmarks n’ont plus lieu d’être de façon à ne pas s’inspirer des propositions de ses concurrents. Il s’agit d’élargir son espace de développement en créant son propre espace stratégique, par une remise en question de sa vision du marché et de son positionnement sur ce marché.

    Basé sur le concept d’innovation-valeur, l’objectif de la stratégie Océan Bleu est d’apporter une proposition comportant une valeur augmentée aux yeux du client car celle-ci répond mieux à ses besoins tout en réduisant les coûts pour l’entreprise en éliminante des variables ou services superflus pour le client.

    L’efficacité du modèle n’est plus à démontrer. Il est utilisé par les grandes entreprises comme Apple, The Body Shop, Brita, Uber, Tesla… et leurs exemples sont assez démonstratifs car développés à grande échelle. Il représente néanmoins une réelle opportunité pour les PME-PMI qui n’ont ni les ressources ni les moyens pour effectuer une démarche innovation avec une approche marketing traditionnelle. Certaines d’entre elles y ont eu recours et le succès est là : 10 vins (Machine de dégustation de vin en dosettes), Berthelot (plomberie, chauffage), Glowee (Bio éclairage), Boco (recettes de grands chefs étoilés en bocaux)…

    Pourquoi cette stratégie de croissance est-elle adaptée aux PME-PMI ?

    La stratégie Océan Bleu correspond tout à fait au contexte des PME, puisqu’il s’agit d’un modèle pragmatique, composé d’outils ludiques, accessibles à tous, simples d’appropriation et de mise en application.

    Cette stratégie offre des outils pragmatiques et simples à utiliser, permettant de :

    • visualiser l’entreprise sur son marché et sur sa chaîne de valeur
    • explorer des nouvelles pistes tant en termes d’offre que de demande tout en faisant preuve d’ouverture sur le monde et les tendances sociétales
    • innover en termes de marché cible pour aller vers des marchés non ciblés et adresser des non-clients
    • redéfinir un nouveau positionnement innovant en remodelant la chaîne de valeur

    Elle constitue une façon d’innover à moindre coût.

    L’Océan Bleu rend la démarche d’innovation beaucoup plus accessible. Il s’agit d’un socle intéressant sur lequel s’appuyer pour créer les conditions favorables à l’innovation dans une entreprise. Permettant d’impliquer tout l’éco-système de l’entreprise (collaborateurs, clients, partenaires, fournisseurs..) dans cette stratégie de croissance, la stratégie Océan Bleu facilite l’ouverture et accélère la démarche de la PME pour trouver une nouvelle façon de se développer avec bon sens.

    Elle représente une opportunité d’augmenter ses revenus.

    Cette méthodologie amène à s’interroger sur les opportunités de développement et à trouver de nouveaux relais de croissance. Un des principes Océan Bleu est de penser à la masse, c’est à dire de penser à grande échelle. Par exemple un marché de masse signifie une population suffisante en rapport avec ses objectifs et son modèle économique.

    Elle permet de capter des non-clients.

    Innover en termes de marché cible va permettre à la PME-PMI d’aller vers des marchés non ciblés, vers des non-clients et va constituer une source de revenus supplémentaires.

    Comment déployer la stratégie Océan Bleu dans une PME ?

    Les 6 pistes pour mettre en pratique la stratégie Océan Bleu :

    • Se former pour maîtriser les principes et outils du modèle
    • Devenir un dirigeant « Océan Bleu » impliquant ses équipes et pratiquant un management équitable
    • Comprendre son environnement et explorer les grandes tendances pour aller vers les marchés les plus porteurs
    • Mettre à contribution l’ensemble de l’éco-système de l’entreprise : collaborateurs, clients, partenaires, distributeurs…
    • Mobiliser ses collaborateurs autour de concours de canevas stratégiques et créer des groupes de travail qui interagissent régulièrement voire constamment via une plate-forme de travail collaboratif
    • Etre accompagné d’un expert en Stratégie Océan Bleu qui vous aidera à prévoir le séquencement stratégique, permettant de valider l’idée Océan Bleu

  • Social Selling : questions – réponses

    Social Selling : questions – réponses

    Voici les réponses aux questions que nous entendons le plus souvent dans les entreprises au sujet du social selling.

    Qu’est-ce que le Social Selling ?

    C’est l’art et la manière de développer ses ventes via les réseaux sociaux. Il s’agit d’une déclinaison des techniques de vente traditionnelles.

    L’objectif pour une entreprise est de rayonner à travers son contenu à forte valeur ajoutée. Il s’agit de fournir à sa cible des éléments pertinents en totale adéquation avec ses préoccupations. De cette façon, l’entreprise attire sa cible (clients / prospects) autour de centres d’intérêts communs qui correspondent à son spectre d’expertise. C’est l’occasion de réinventer une relation clients riche, durable et authentique entre la marque et son public.

    Développer son business sur les médias sociaux contribue aussi à réconcilier commerce et marketing pour une action cohérente plus efficiente.

    Le Social Selling est un des défis qui existe parmi beaucoup d’autres dans la transformation digitale de l’entreprise.

    Voici les réponses aux questions que nous entendons le plus souvent dans les entreprises au sujet du social selling.

    En quoi est-ce important pour une entreprise de l’intégrer dans sa stratégie commerciale ?

    Les comportements d’achat ont complètement changé depuis ces dernières années. 51% des clients en BtoB ne contactent pas un fournisseur sans avoir établi une liste de fournisseur potentiel sur le web. 72% des clients en BtoB affirment que les réseaux sociaux jouent un rôle dans leur recherche (source : BtoB Buyer Behavior Survey 2013). Le commercial n’est plus l’interlocuteur privilégié du client. Désormais, les acheteurs sont autonomes dans leur recherche d’informations sur internet. Ils se forgent leur opinion par rapport à ce qu’ils trouvent sur le web, aux résultats de tests, aux retours d’expériences… Ils sont influencés par les avis de leurs pairs, au dépend de la publicité et des discours commerciaux. 72% des clients en BtoB affirment que les réseaux sociaux jouent un rôle dans leur recherche (source : BtoB Buyer Behavior Survey 2013). Les acheteurs réalisent 60% à 70% de leur processus d’achat avant de parler à un commercial (sources : IDC, Sirus Decisions et Corporate Excecutive Board). La prise de contact n’intervient qu’en fin de parcours.

    Fort de ce constat, l’entreprise doit impérativement s’adapter à cette nouvelle donne et intégrer le social selling comme une évolution des méthodologies de vente pour se placer naturellement à plusieurs endroits du parcours d’achat du consommateur en lui apportant de la valeur à chaque étape de son expérience d’achat.

    L’objectif est de faire de ses équipes des commerciaux augmentés, plus intéressants que intéressés. Le social seller saura être proactif. Par une veille stratégique, Il détectera les moments déclencheurs d’achat, exploitera les signaux d’achat que sont les informations délivrées par les clients sur les réseaux sociaux, identifiera en amont un acheteur potentiel en fonction de son comportement, de ses connexions, de ses prises de parole. Il proposera ainsi une mise en relation à bon escient dans l’optique d’apporter une vraie valeur à son interlocuteur.

    Comment appliquer et intégrer le Social Selling dans le travail d’un commercial ?

    Quatre points me semblent essentiels pour avancer de façon pragmatique dans la conception d’une démarche social selling :

    1/ Impliquer le commercial dès le début dans cette démarche social selling

    Il est nécessaire de lui expliquer les enjeux des comportements d’achat actuels exposés ci-dessus afin qu’il devienne acteur et contribue à ré-inventer sa propre méthode de vente.

    Cette démarche permettra au commercial de passer de statut de “pur commercial” (un individu qui veut vendre et qui parlera de ses objectifs), au statut de “commercial intéressant”, c’est à dire une personne au comportement différent, davantage intéressé par les besoins de ses clients, qui saura se connecter avec eux, les écouter et leur expliquer comment il peut leur apporter de la valeur.

    2/ Aligner le commerce et le marketing

    Si il existe un service marketing, il est impératif d’aligner le commerce et le marketing autour du business généré, le seul indicateur qui rapproche les équipes marketing et commerciales.

    Il est important de jouer collectif, d’avoir un objectif commun pour l’entreprise. Je pense même qu’il est maintenant judicieux d’associer tous les collaborateurs à cet objectif car la vente “sociale” qui ré-enchante la relation client n’est plus simplement l’affaire du commercial, c’est l’affaire de toute l’entreprise qui se doit de multiplier les points de contact tout au long du cycle de vie du client. Nous invitons les entreprises à créer une charte d’engagement réciproque pour une meilleure synchronisation entre les équipes. Par exemple les marketeurs génèrent des leads, de leur côté les commerciaux s’engagent à traiter les leads dans un délai court.

    Si il n’existe pas de service marketing, il est important de rendre cette démarche transversale en y impliquant d’autres collaborateurs “volontaires” pour amorcer la démarche.

    3/ Comprendre son client grâce à l’empathie

    Il est important de se mettre à la place du client ou du prospect, d’être dans l’empathie pour bien percevoir sa ou ses problématiques. Il s’agit de comprendre la démarche de l’acheteur, la manière dont il consomme le contenu. Le but pour l’entreprise est de répondre aux questions que le consommateur se pose dans telle ou telle situation. De cette façon, l’entreprise fournit un contenu de qualité : la bonne réponse au bon moment tout au long du parcours d’achat, sans noyer le client sur dans la masse des contenus.

    4/ Adapter le management commercial et les KPI (indicateurs de performance)

    Ce qu’il faut avoir en tête, pour vendre davantage, c’est qu’un social seller ira moins en clientèle, mais il parlera avec plus de clients. Parfois, il leur parlera de façon plus collective, d’autre fois plus individuelle. Ce sont ces temps collectifs et individuels qu’il est nécessaire de “doser” pour faire durer la relation.

    Qui dit méthode de vente évoluée, rime forcément avec management évolué et adapté. Il serait contre-productif d’inciter les commerciaux à s’approprier les méthodes du social selling et de continuer à évaluer leur travail sur des KPI traditionnels comme le nombre d’appels sortants, le nombre de RDV ou encore le nombre de leads dans le pipe commercial car on ne sait jamais s’il s’agit de vrai leads…

    Au contraire, vous avez intérêt à re-définir des KPI en cohérence aux nouvelles méthodes qui seraient plus liées à des vues, like, abonnés, messages échangés, nombre de personnes dans les communautés…

    Est-ce la « mort » du commercial à l’ancienne ? Est ce que le Social Selling remplace les techniques de prospection classique ?

    Oui, le commercial traditionnel qui fait de la prospection en mode cold call n’a plus lieu d’être. Côté client, qui a envie de perdre du temps à recevoir un appel téléphonique d’un inconnu qui propose quelque chose en décalage avec ses préoccupations actuelles ? Personne à ma connaissance.

    Côté chef d’entreprise, combien de temps les commerciaux passent à appeler des personnes sans avoir personne au bout du fil ? Trop longtemps… Et généralement, ceci n’est pas quantifié dans une entreprise,
    Ce commercial traditionnel va petit à petit ne plus avoir sa place. Il sera de plus en plus en décalage avec les attentes et pratiques des clients.

    57% des décisions d’achats des clients sont prises bien avant le premier contact avec un commercial. Comment attire-t-on leur attention durant ce processus ?

    Il existe plusieurs façons d’attirer leur attention :

    Il s’agit avant tout de produire du contenu pour être visible et diffuser son savoir faire. Il faut être pertinent sur le contenu. La meilleure démarche consiste à   fabriquer du contenu propriétaire qui apporte de la valeur au prospect ou client. Ceci peut se décliner sous forme de vidéos, articles, infographies, outils, tests… Il s’agit bien, concernant les clients  :

     

    • d’être en phase avec leurs préoccupations
    • de leur apporter le contenu qui correspond à chaque étape de vente
    • de leur fournir du contenu utile, authentique, simple à “consommer” pour que le l’expertise et le savoir-faire de l’entreprise soit apprécié et reconnu
    • de répondre à leurs vrais besoins et aux questions qu’ils peuvent se poser
    • de leur donner la parole pour collecter facilement les remontées terrain utiles au développement voire au co-développement de produits et services
    • de les surprendre
    • de les intéresser
    • de les faire sourire, voire rire

     

    Comment mettre en place une stratégie efficace de Social Selling dans une entreprise qui n’en a encore jamais fait ?

    En postulat de départ, il est important quele ou la dirigeante soit convaincu(e) par la démarche Social Selling. Il doit être le premier sponsor de l’opération. Idéalement, il doit être partie prenante pour contribuer, à son niveau, à faire rayonner son entreprise selon ces nouvelles méthodes de vente.

    Bien sûr, l’étape essentielle consiste à former ses collaborateurs à ces pratiques numériques, pas seulement dans une problématique d’outils mais surtout dans une problématique de stratégie. A noter qu’il suffit d’une personne pour démarrer. Le point essentiel est de déterminer une stratégie de contenu, un contenu non “product centric” mais du contenu “client centric”, qui est plus engageant.

     

    Pour démarrer, il est nécessaire de se poser les bonnes questions. A qui je m’adresse : des clients ? des prospects ? Suis-je dans une démarche de fidélisation ? de conquête ? Est ce qu’ils sont présents sur LinkedIn, Facebook…? Sur quel support s’informent-ils ? Comment puis-je leur donner l’occasion de parler d’eux et de votre société ?

    Chez BlueMarketing, en tant que professionnels de la création de stratégies digitales, nous animons des formations-actions qui permettent aux participants de “vivre” le Social Selling, afin qu’ils se l’approprient grandeur nature. Il s’agit d’ateliers expérientiels courts et pratico-pratiques qui favorisent l’autonomie et l’action, tout en étant accompagné et conseillé de façon contextuelle. L’idée est de faire pratiquer, tester pour ensuite partager les bonnes pratiques et montrer au reste des salariés que ça fonctionne.

    Il est nécessaire de permettre aux commerciaux d’être en contact avec les clients de l’entreprise.

    Il faut réussir à montrer à un commercial que le Social Selling est un outil qui lui apporte de la valeur, et qu’il a tout intérêt à l’animer et le faire vivre dans le temps.

    Nous ne démarrons pas par une démarche de formation en masse avec l’ensemble des collaborateurs. Au contraire, nous choisissons des personnes qui ont une certaine appétence et une curiosité pour le sujet. Elle sont aussi sélectionnées pour leur capacité à diffuser le bon message en interne vis-à-vis de leurs collègues.
    Il n’y a pas de profil type, il suffit juste de sélectionner des volontaires qui veulent développer leur professional branding.

    Concrètement, nous les accompagnons dans la définition de la démarche stratégique puis dans sa déclinaison au niveau de la démarche opérationnelle.

    Ainsi, lors des ateliers, les participants créent leur Page entreprise sur LinkedIn, Viadéo, Google+, leur chaîne Youtube…. Les commerciaux établissent leur profil personnel de façon à mettre en valeur leurs expertises et les valeurs de l’entreprise. Une démarche de curation de contenu est définie en fonction des territoires de veille. Les commerciaux apprennent à commenter ou ajouter leur point de vue pour engager une conversation.

    Une stratégie de contenu est alors définie. Il s’agit de lister les questions que se posent vos clients et d’en rédiger les réponses. De là, nous établissons un planning éditorial, définissons les thèmes de posts, leurs fréquences, les plate-formes utilisées comme Pulse sur LinkedIn, Médium ou autres …

    Nous pouvons être amenés à créer des process ou s’appuyer sur des outils spécifiques pour concevoir des bibliothèques de contenu, référentiel unique mis à disposition des commerciaux pour qu’ils puissent puiser dedans, se les approprier pour ensuite diffuser plus rapidement.

    Suivant les cas, nous les dotons d’outils de monitoring pour centraliser des likes, des commentaires et y répondre par la suite.

    L’idéal est de laisser son autonomie à l’équipe commerciale, en favorisant l’action responsable avec bon sens.

    Par expérience, les premiers résultats sont invisibles dans les premiers temps. Après 6 mois, les entreprises constatent un premier frémissement et des signes dans la vie réelle.

    En parlant de Social Selling, comment toucher les personnes non connectées ?

    Certaines entreprises choisissent de prendre leurs clients par la main pour leur permettre de faire leurs premiers pas sur les réseaux sociaux.

    Personnellement, nous travaillons avec des entreprises qui créent des communautés privées avec leurs clients. L’objectif étant de leur apporter des services supplémentaires à travers de l’information de qualité. Pour se faire, ils adoptent une démarche didactique et font preuve de pédagogie pour que leurs clients rejoignent ces communautés et deviennent acteurs au sein de ces cercles.

    Est-ce un public « abandonné » par le Social Selling ? Y a-t-il des alternatives de Social Selling pour parvenir à les toucher ?

    Si les clients ou les prospects ne sont pas sur les réseaux sociaux, l’entreprise aurait intérêt à utiliser les canaux traditionnels pour relayer ce qui se dit et se passe sur les réseaux. L’idée est de donner envie aux personnes de s’y mettre pour vivre les choses en temps réel et d’y participer.

    BlueMarketing a créé un programme de formation orienté pratique et expérimentations pour vous permettre de monter en compétence sur ces pratiques de social selling.

  • 10 bonnes raisons d’avoir un site web WordPress

    10 bonnes raisons d’avoir un site web WordPress

    Voici 10 raisons qui démontrent que tout indépendant, auto-entrepreneur, freelance, commerçant, artisan ou encore entreprise a tout intérêt à investir dans un site web WordPress.

    Raison n°1 : un site web WordPress est une vitrine accessible 24/24 7/7 partout dans le monde.

    Dans vos activités respectives, vous avez affaire à des nouveaux types d’acheteurs qui se renseignent quasi-systématiquement sur Internet avant d’acheter. Selon un sondage de l’ifop, 80% des Internautes déclarent avoir recours à Internet pour se renseigner avant d’acheter un produit ou un service. En réponse à ces pratiques, tout entreprise se doit de mettre en valeur votre savoir-faire et vos réalisations à travers un site web. Exploiter ce canal incontournable qui occupe une place prépondérante dans le parcours d’achat d’un individu nous semble juste indispensable même pour une petite structure.

    Raison n°2 : un moyen efficace de se faire connaître

    L’e-réputation constitue un frein ou un accélérateur d’achat auprès d’une entreprise. A l’heure du consommateur « expert » très informé, un site web WordPress bien structuré et riche de contenu qualitatif vous permettra d’être présent dans ses résultats de recherche. Ainsi vous aurez plus de chance d’être dans la sélection des fournisseurs potentiels de l’acheteur.

    Raison n°3 : un outil pour vendre en ligne en France mais aussi dans le monde et pour offrir plus de services à vos clients.

    Les transactions e-commerce sont en forte progression +15% au second semestre avec un chiffre d’affaires de 17,4 milliards d’euros, selon la FEVAD. L’offre e-commerce grandit toujours plus avec près de 190 000 sites marchands actifs soit 13% de plus en un an (+21 600 sites). Les ventes sur smartphones ou tablettes se développent rapidement +38%. C’est pourquoi tout site web se doit être web responsive design, c’est à dire compatible avec ces supports mobiles, ce qui est un des atouts du CMS WordPress.

    Raison n°4 : Vous êtes propriétaire de votre site Internet et non locataire d’un espace sur les réseaux sociaux où les règles du jeu peuvent changer à tout moment.

    Avec un site web, vous êtes propriétaire du contenu que vous publiez. Vos pages indexées par Google, seront affichées en fonction de leur pertinence de réponse par rapport à la question posée par l’internaute. Les règles du jeu de l’algorithme évoluent forcément mais toujours dans le sens de la qualité et la recherche de l’adéquation entre la question et les réponses fournies. Contrairement au contenu que vous publiez sur les réseaux sociaux, par exemple sur votre page Facebook, seul un pourcentage de plus en plus faible du contenu est diffusé à vos abonnés. Il est préférable de développer le contenu propre à l’entreprise et d’exploiter les réseaux sociaux comme un amplificateur.

    Raison n°5 : Vous vous affranchissez de reverser une commission à une plate-forme (type : booking…)

    La puissance des plate-formes est intéressante. Elles peuvent drainer un bon flux d’activité moyennant le reversement d’une commission. Par contre, de part leur nature de diffuser une offre exhaustive, elles deviennent le point de contact privilégié du client. Avoir votre propre canal de communication avec le client via votre site web vous permet d’entretenir une relation directe avec lui et vous évite de dépendre à 100% des plate-formes.

    Raison n°6 : Un premier pas essentiel vers la construction de votre présence sur Internet.

    Le site web est la pierre angulaire de la construction de l’identité numérique, laquelle vivra et grandira grâce, dans un second temps, à des opérations de webmarketing ciblées (promotion par internet) et aux réseaux sociaux.

    Raison n°7 : Un investissement plus rentable que sur les autres médias.

    Avec un site web et plus globalement dans une démarche digitale, vous avez possibilité de connaître plus facilement l’impact et les retombées de vos actions. Les outils d’analyse et de monitoring sont là pour vous permettre de mesurer les conversions et de suivre des indicateurs de performance.

    Raison n°8 : Une augmentation de la valeur de l’entreprise.

    Un site actif ou « serviciel » offre aux internautes la possibilité de réaliser des opérations commerciales : informations sur les produits vendus, enregistrement d’une commande, demande de démonstration, mise en contact avec le service commercial…. Il constituera des frais comptabilisables dans les immobilisations. L’entreprise pourra ainsi avoir un meilleur résultat comptable et payer moins d’impôts sur les bénéfices que si elle avait réalisé un site passif (site présentant l’activité, un projet…)

    Raison n°9 : Une démarche en phase avec les comportements d’achat actuel.

    Le client potentiel fait 57% de son parcours d’achat en autonomie en consultant Internet. Si vous êtes sur son chemin avec du contenu qui lui parle, vous serez contacté.

    Raison n°10 : WordPress est la référence en matière de système de gestion de contenu web

    Les site web WordPress représentent plus de 25% du Web (novembre 2015) et ce chiffre progresse très vite.

    D’une part, son eco-système extrêmement riche en fait l’un de ses atouts :

    • Des dizaines de milliers de plugins (modules fonctionnels additifs), dont la plupart librement téléchargeable
    • Un très grand nombre de thèmes pour personnaliser les mises en page.
    • Un nombre de contributeurs record et des prestataires nombreux et variées (freelance, designers, agences, ESN, …).

    D’autre part, ses autres forces sont :

    • Rapidité d’installation et simplicité d’utilisation,
    • Une interface rédacteur accessible,
    • Une application mobile pour mettre à jour votre contenu,
    • Les mises à jour de sécurité automatiquement installées,
    • Il est extensible et évolutif, naturellement optimisé pour le référencement,
    • Les standards du Web sont respectés.

    Envie de vous lancer et d’auto-construire votre site web WordPress ?

    En parallèle de notre activité liée à l’accompagnement des entreprises dans leur transformation digitale, nous mettons sur pied des ateliers d’auto-construction de sites Internet conçus spécialement pour les micro-entreprises : auto-entrepreneurs, entrepreneurs, indépendants, freelances, commerçants ou artisans…

    Les participants sont coachés pas à pas avec une méthodologie éprouvée depuis 3 ans dans le monde professionnel ainsi que dans des écoles de commerce, de marketing et de communication.

  • Test de réalité virtuelle dans l’aménagement de l’habitat

    Test de réalité virtuelle dans l’aménagement de l’habitat

    Nous avons eu le plaisir de tester le cube de réalité virtuelle chez notre partenaire, Afpia Solfi2A, centre de formation dans le domaine de l’aménagement de l’habitat. En quelques minutes, grâce aux lunettes, nous avons été immergés dans un nouveau projet d’aménagement d’un restaurant. Grâce à la manette, nous sommes rentrés dans les lieux, passés entre les tables et même approchés du comptoir. En un clic, nous avons pu ouvrir des portes ou changer les couleurs des murs. Il suffit juste de configurer le fichier en amont avec ces différents paramètres offrir ces options de personnalisation.

    La réalité virtuelle : une vrai valeur-ajoutée dans le domaine de l’aménagement de l’habitat

    Avec un cube de réalité virtuelle, vous permettez à vos clients de se projeter dans leur futur point de vente, bureau ou usine. Ainsi, ils visualisent leur projet, testent la proposition d’aménagement, découvrent à l’échelle 1:1 le décor et la disposition des éléments.

    Parlons-en

    Intéressé(e) pour exploiter ce type d’immersion ?

    Travaillons ensemble pour créer de nouvelles expériences originales et accélérer la prise de décision chez vos clients.
    Parlons-en
  • Engouement des dirigeants pour la Stratégie Océan Bleu

    Engouement des dirigeants pour la Stratégie Océan Bleu

    Une petite trentaine de dirigeants de PME-PMI ont assisté au petit-déjeuner le vendredi 3 juin à Clisson sur le thème de la stratégie Océan Bleu.

    Ce sujet attire la curiosité de chefs d’entreprises de tout horizon. De nombreux secteurs d’activité étaient représentés : industrie en énergie renouvelable, cosmétique, événementiel, prestataire de services en système d’impression, centre de formation, ingénierie en géologie, industrie en stockage de produits dangereux, studio de musique, inventeur d’objet grand public, textile …

    Que sont-ils venus chercher ? Que s’est-il dit ? Pourquoi cet engouement pour ce modèle stratégique relativement récent ?

    Des chefs d’entreprise à la quête d’une nouvelle approche :

    En opposition avec les stratégiques classiques de marketing datant des années 60-80 et issues de Harvard, la stratégie Océan Bleu est un modèle moderne mis au point par 2 chercheurs de l’INSEAD. Résultat d’une observation portant sur 150 entreprises durant le siècle dernier, elle est basée sur le concept d’innovation-valeur qui consiste à augmenter la valeur pour l’acheteur tout en réduisant les coûts pour l’entreprise.
    Les chefs d’entreprise attentifs à la présentation animée par Judicaël Gillet constatent que ce modèle prend tout son sens actuellement, à l’heure où leur entreprise évolue dans un climat ultra-concurrentiel et où il est impératif pour eux de :

    • aller chercher de la croissance,
    • répondre à de nouveaux besoins,
    • sortir du cadre et se distinguer,
    • explorer de nouveaux marchés,
    • innover à moindre coûts avec des ressources limitées,
    • conserver leur marge.

    Des outils accessibles pour créer son Océan Bleu

    De l’éveil visuel de son marché, à l’exploration des 6 pistes en passant par la matrice ERAC, les principaux outils de l’Océan Bleu ont été présentés. Les participants se sont rendus comptes que les outils sont ludiques et simples d’appropriation. Ils ont apprécié la démarche structurante proposée par l’Océan Bleu pour explorer son marché, visualiser les positions de ses concurrents sur son marché existant, redessiner les frontières de son marché.

    Le cas Du Slip Français décrypté

    Judicaël Gillet présente l’entreprise Le Slip Français, une entreprise française créée en 2011. Elle produit et distribue des sous-vêtements et accessoires principalement sur Internet. Elle a appliqué le modèle stratégique océan bleu pour se distinguer, apporter un renouveau et de croître de façon exponentielle dans un marché du textile en baisse depuis plusieurs années consécutives.

    canevas-strategique_slip

    Canevas Stratégique Le Slip Français – Modèle Stratégique Océan Bleu

    Pour aller plus loin

    Nous organisons régulièrement des sessions de formation-action sur 2 jours. Après une demi-journée de compréhension et d’appropriation du modèle stratégique, le reste de la formation est consacré à la mise en pratique. Nous animons des ateliers de réflexion, des exercices de création et favorisons les échanges. Vous avez ainsi l’opportunité de travailler sur votre propre cas d’entreprise.
    Grâce à la pédagogie active et aux différents outils proposés (outils de réflexion, outils collaboratifs, outils de visualisation, outils de création, applications collaboratives), vous êtes acteur. C’est l’occasion de suivre la démarche pas à pas pour concevoir une première version de votre stratégie Océan Bleu. De retour dans votre entreprise, vous pouvez ensuite partager simplement avec vos équipes le fuit de votre travail et les mobiliser autour de votre projet Océan Bleu.

  • [Petit déjeuner] Comment identifier des nouveaux relais de croissance ?

    [Petit déjeuner] Comment identifier des nouveaux relais de croissance ?

    Bonjour,

    Nous avons le plaisir de vous inviter à un petit-déjeuner convivial le 3 juin 2016 à Clisson sur le thème passionnant de la « Stratégie Océan Bleu », modèle stratégique innovant permettant d’identifier de nouveaux relais de croissance et de contourner la concurrence. Il est utilisé par les plus grands comme Apple, Brita, Uber, Tesla mais est néanmoins tout à fait adapté aux TPE / PME-PMI de tout secteur d’activité.

    A qui s’adresse cette rencontre ?

    • des chefs d’entreprise qui ont envie de choisir leur croissance, qui ne veulent plus subir les pressions liées à la saturation des marchés et aux politiques de bas prix.
    • des dirigeants ayant conscience que toute activité peut être ubérisée, qui ont la volonté d’agir
    • des directeurs innovation qui veulent agir et non subir, être créateur de valeur, innover sans forcément avoir recours à une innovation technologique
    • des directeurs marketing qui veulent choisir une voie de développement hors des sentiers battus et qui ne va pas être voué au combat traditionnel et habituel en frontal avec les acteurs d’un marché.

    Programme et inscription requise

    Au plaisir de vous rencontrer

    Bien cordialement

    L’équipe BlueMarketing

  • Stratégie Océan Bleu : une réponse efficace à la saturation des marchés

    Stratégie Océan Bleu : une réponse efficace à la saturation des marchés

    Océans rouges VS Océan bleus

    A l’heure de l’hyper concurrence, de la saturation des marchés, des prix tirés vers le bas, ou encore de l’uberisation, l’entreprise doit se différencier et trouver de nouveaux relais de croissance. La stratégie Océan Bleu constitue une réponse efficace et pragmatique.
    Dans une optique traditionnelle, les entreprises auront recours à l’une des 3 stratégies génériques de Michael Porter pour tirer bénéfice de leur avantage concurrentiel :
    – la stratégie de domination par les coûts comme Ryan Air par exemple
    – la stratégie de différenciation comme le Groupe Danone avec son produit Actimel
    – la stratégie de focalisation comme Ferrari.

    Depuis 2005, une autre alternative s’offre aux entreprises. Il s’agit de la stratégie Océan Bleu, un modèle stratégique proposé par W. Chan Kim et Renée Mauborgne, chercheurs à l’INSEAD : une réponse adéquate à plus d’un titre. Utilisée par les plus grands comme Apple, Brita, Uber ou encore Tesla, elle est néanmoins tout à fait adaptée aux TPE / PME-PMI de tout secteur d’activité.

    Ce modèle stratégique basé sur le concept d’innovation-valeur offre une alternative performante à la démarche marketing traditionnelle et en particulier aux stratégies génériques de Michael Porter.
    La démarche consiste entre autres à élargir le cercle des clients grâce à un processus d’innovation original et à moindre coût. Aller vers l’« océan bleu », c’est aller là où il n’y a pas d’autres poissons, créer de la valeur en s’éloignant de la zone de concurrence saturée (l’« océan rouge »).

    Aller_vers_marches_sans_concurrence

    Cette stratégie disruptive nécessite la remise en question de sa vision du marché, dynamise la croissance de l’entreprise qui créera son propre espace stratégique.

    L’innovation offre des possibilités insoupçonnées pour tout dirigeant d’entreprise quelque soit son domaine d’activité. Celle-ci n’est pas forcément technologique mais elle peut être de nature variable (concerner la relation client, le circuit de distribution, la population cible…) Elle est avant tout une innovation utile, créatrice de valeur.

     

    Océans_rouges_VS_Océans_Bleus

    Pour créer de nouveaux espaces stratégiques et cette innovation-valeur, pierre angulaire de la stratégie Océan Bleu, des outils concrets et accessibles aux PME/TPE existent.

    Voici 2 occasions de découvrir le principe Océan Bleu et ses outils :

    – lors d’une conférence le 7 juin à Genève intitulée « Choisissez votre croissance – Développer votre vision d’avenir, votre stratégie d’innovation et votre leadership  » Programme et Inscription gratuite
    – lors d’un petit déjeuner convivial le 3 juin à Clisson dans le sud de Nantes : Comment identifier des nouveaux relais de croissance ? Programme et Inscription gratuite
    Ce sera aussi l’occasion de découvrir des exemples et décryptages de cas d’entreprises concrets tels que 10 Vins (Machine de dégustation de vin en dosettes), Berthelot (plomberie, chauffage), Boco (recettes de grands chefs étoilés en bocaux), Glowee (Bio éclairage)….

    Nous présenterons ces outils dans un prochain post :

    • le canevas stratégique
    • la matrice des 4 actions ERAC (Exclure-Réduire-Augmenter-Créer)
    • les 6 pistes
    • les 3 niveaux de non-clients
  • Conférence : choisissez votre croissance avec la Stratégie Océan Bleu

    Conférence : choisissez votre croissance avec la Stratégie Océan Bleu

    Développer votre vision d’avenir, votre stratégie d’innovation et votre leadership.

    Vous êtes dirigeants de PME-PMI ? Assister à la présentation de la Stratégie Océan Bleu lors d’une conférence qui a du sens à l’heure de l’hyper concurrence, de la saturation des marchés, des prix tirés vers le bas, ou encore de l’ubérisation.
    Dans ce contexte, les PME-PMI doivent se différencier et trouver de nouveaux relais de croissance.  Les nouveaux comportements sociaux et l’émergence d’un nouveau monde digital pousse les dirigeants à s’interroger sur leur leadership et à inventer leur nouveau style.

    Dans cette optique, en partenariat avec la Fédération des Entreprises Romandes à Genève, Esperformance, un cabinet d’accompagnement managérial et BlueMarketing spécialiste en transformation digitale s’associent pour créer et animer une conférence présentant la Stratégie Océan Bleu et les incidences du style de leadership du dirigeant.

    Cette conférence répondra aux questions suivantes :

    • Comment développer une stratégie d’innovation dans une TPE/PME ?
    • Quels sont les liens entre la personnalité du dirigeant et sa stratégie d’innovation ?
    • Comment s’inspirer d’exemples de réussite de TPE/PME ?
    • Que signifie être un dirigeant / un leader « océan bleu » ?
    Complet

    Informations pratiques pour participer

    – Date : 7 juin 2016 à 17h30
    – Lieu : Fédération des Entreprises Romandes Genève – 98, rue de Saint-Jean – 1211 Genève 11.

    Une deuxième date de conférence a été fixée le 21 juin à 17h30, conférence également complète

     

    Complet

    Intervenants :

    intervention stratégie océan bleu

    Judicaël Gillet est fondateur et directeur associé du cabinet d’externalisation, de conseil et de formation BlueMarketing, spécialisé dans le pilotage de la transformation digitale des entreprises. Il est utilisateur et prescripteur du célèbre modèle stratégique Océan Bleu (Blue Ocean Strategy) puisqu’il accompagne depuis 3 ans des PME-PMI de tout secteur d’activité dans la formulation et la mise en oeuvre de leur stratégie d’innovation-valeur.

    Christian Buschbeck est fondateur et directeur du cabinet Esperformance , spécialisé dans la mise en œuvre des stratégies d’entreprise au niveau RH, l’accompagnement et coaching de dirigeants et de cadres, formation de formateurs et développement du potentiel humain et leadership (management, commercial et synergie d’équipe).

    Il est en charge du déploiement de la démarche Self Leadership Lab. Il accompagne les directions de PME/PMI dans leur transformation personnelle et d’entreprise.

    Christian Buschbeck

    A suivre de cette conférence, nous vous proposons une formation de 3 jours les 10, 11 octobre et 7 novembre 2016 pour vous permettre d’acquérir la maîtrise d’outils concrets et accessibles aux PME/TPE , comme le canevas stratégique, la matrice des 4 actions ERAC (Exclure-Réduire-Augmenter-Créer), les 6 pistes, les 3 niveaux de non-clients ainsi que ceux de la démarche Self Leadership Lab.

  • BlueMarketing dans emarketing.fr

    BlueMarketing dans emarketing.fr

    Judicaël est sollicité par Floriane Salgues, journaliste Emarketing.fr et Marketing Magazine (@FloSalgues) sur l’une de ses expertises le ROI des réseaux sociaux.

    Voici un dossier thématique sur les médias sociaux qui apporte un éclairage sur les principales questions :

    – Comment convertir l’engagement en business ?
    – Comment générer de la notoriété utile ?
    – Comment mesurer le ROI des réseaux sociaux et quels KPI prendre en compte ?

    Lire l’article : Du like aux leads, comment doper le ROI du social media ?

    Version papier :

    Marketing magazine ROI des médias sociaux
    Marketing Magazine – version papier – février/mars 2016